L'impact du NON
Épisode 25 | PODCAST M’ENTREPRENDRE (19 min 17 sec)
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Quand tu dis non, ça a plus d'impact dans ta réussite, que quand tu dis oui.
J'étais assez septique quand j'ai entendu ça et en même temps, j'étais assez interpellée par cette idée-là.
C'est sûr que dire non, ça demande du courage et l'impact du non est fort. Il trace une ligne, il réduit les options; c'est un peu compromettant.
Le non est puissant et en fait, il génère plus de possibilités.
Dire non, c'est souvent te dire oui à toi. C'est souvent dire oui à ce qui est le plus important.
Aujourd'hui, on se réconcilie avec l'acte de dire non. On prend le temps de se déposer, pour mieux décider.
On explore ensemble le paradoxe du non comme stratégie de succès.
[INTRODUCTION]
Mon nom est Mélissa Miron et j’anime M’entreprendre. Le podcast qui inspire au mieux-être et qui invite à faire mieux. Ex-agente de voyage qui voulait mieux se connaitre, je me suis inscrite à une formation de coaching pour apprendre à me gérer et devenir ma propre coach.
Depuis 7 ans maintenant, je pratique ce que j’enseigne. Je suis la complice des entrepreneurs qui aspirent au succès avec impact et authenticité. Leadership, mindset, introspection, stratégie, connexion; le but de ce podcast est de faciliter ton évolution, éclairer tes réflexions.
Ensemble, on vient vers toi pour connecter à tes essentiels.
Épisode solo ou en duo, je te donne rendez-vous pour ton moment de pleine confiance, car qui tu es, fait toute la différence. Es-tu prêt? On commence à l’instant.
Bienvenue à ce nouvel épisode de la série M'Entreprendre, notre rendez-vous pour vivre et entreprendre avec intention.
L'épisode d'aujourd'hui porte sur une stratégie qui est sous-estimée ou sous-utilisée, tout particulièrement chez les solopreneurs, les travailleurs autonomes, dans les petites entreprises; l'impact du non.
Aujourd'hui dans l'épisode je vais te partager en quoi le non, c'est une puissance à se réapproprier.
Je veux aussi te partager ma façon de me coacher à dire plus souvent non, pas seulement pour le fun de le dire, mais vraiment pour réellement reprendre la maitrise de nos vies, de nos horaires, de réellement nos décisions les plus porteuses de succès. Je veux aussi te proposer un défi M'Entreprendre pour dire ton premier non vraiment senti, ton premier non stratégique.
Je prends le temps de dire merci à Francis, mon collaborateur spécial pour toute la technique du podcast parce que c'est lui qui m'a suggéré de faire un épisode sur ce sujet-là. Je l'avais effleuré dans un épisode précédent et c'est grâce à lui aujourd'hui qu'il y a un épisode entier sur le sujet.
Dire non, ça a souvent plus de portée, plus d'impact que de dire oui.
Ça peut te sembler paradoxal, mais en même temps c'est tellement vrai.
Je me rappelle d'avoir lu cette phrase-là. Ça avait un petit peu fait son chemin, mais il y a vraiment quelque chose qui s'est cristallisé pour moi quand j'ai assisté à une remise de prix assez importante et on honorait la carrière de madame Danièle Henkel.
Ce soir-là et dans son discours d'acceptation, elle commençait d'entrée de jeu par dire un grand merci à tous ceux qui ont lui dit non dans toute sa carrière. Elle disait que c'est grâce à eux qu'elle pouvait être là aujourd'hui. C'est grâce à ceux et au non qu'elle a reçus que sa vision est restée vive, que ça s’est clarifié, qu'elle a appris à développer sa résilience, sa détermination, sa persévérance et que c'est ça qu'il l'avait amené à être la femme qu'elle était aujourd'hui avec tous les accomplissements qu'elle a pu concrétiser.
Ça m'avait vraiment marqué parce que je me disais :
«On a tendance à se fier sur les oui, les appuis, tout ce qui coule, mais en même temps, le non qu'on reçoit ou qu'on dit, qu'on prononce, a vraiment un impact important.»
Dans les faits, les entrepreneurs, les gens passionnés, les gens de projets, comme moi, comme toi probablement, on est beaucoup plus enclins à dire oui à plein de choses qu'à dire non.
C'est un peu comme pour les enfants. Il y a de plus en plus d'études qui démontrent combien c'est essentiel que les enfants entendent le non, qu'ils apprennent à avoir des balises, à se recentrer, à avoir un cadre, qu'ils apprivoisent le non. On dit que quand on dit oui trop souvent à un enfant, bien on ne leur rend pas service et on ne leur permet pas de développer leur pleine potentialité.
Est-ce que ça pourrait être la même chose pour nous?
Pour nous les adultes, les professionnels, entrepreneurs avec plein de projets? Je pense que oui.
Apprendre à recevoir le non et surtout apprendre à assumer et dire non plus souvent, je pense que c'est le grand domino pour que le reste de nos grandes visions puissent prendre place.
En toute honnêteté, je trouve encore ça assez ardu de dire non, mais c'est vraiment une stratégie qui a contribué à complètement transformer ma business depuis a peu près un an et demi. Parce que pendant super longtemps pour moi, j'avais vraiment une croyance tenace, un comportement qui m'amenait à toujours dire oui. J'en ai parlé quelques fois, je suis une fille de projets, je suis une fille d'opportunités, j'aime les contacts, les nouveaux projets. Alors pour moi, une invitation, une opportunité, un projet qu'on me proposait, une offre, tout était toujours propice à dire oui.
Ça ne m’effleurait même pas l'esprit de pouvoir dire non.
Pour moi, toute opportunité était bonne à saisir et être entrepreneur, c'était dire oui. Dire oui à la vie, aux autres, aux collaborations, à tout ce qui était là. Et c'est vraiment quand j'ai un peu si je peux dire de la boulimie dans mon horaire, vraiment surchargé mon horaire, donc surcharger mon mental, me surcharger émotivement, que je réalisais: «Ouain, il y a trop de choses dans mon horaire. Il y a trop de projets en même temps.», je me sentais éparpillée. J'ai été obligée, si je peux dire, de revoir mes stratégies et de me dire comment je vais choisir.
Tu as peut-être déjà entendu l'adage qui dit: Choisir c'est renoncer.
Bien en fait, c'est un peu ça. C'est quand on dit non, qu'on créer de l'espace pour les oui, pour les vrais oui. Et ce que je me suis rendu compte, c'est que pour moi, dès qu'il y avait une petite étincelle, un petit quelque chose d'intéressant, je disais automatiquement oui. Donc, il y avait très peu de non.
Alors l'apprentissage du non, c'est essentiel pour tous et ce n’est pas tous dans la même veine, dans les mêmes racines que ça vient nous jouer un petit peu dans les sentiments. Ça demande une certaine introspection parce qu'on peut alors cerner qu'est-ce qui génère notre crainte du non? Qu'est-ce qui nous garde loin du non dans notre vie? Ça peut être parce que tu as peur de manquer quelque chose.
La peur de dire non… Ou rends-toi à 7 minutes 35:
Pour moi, je pense qu'il y avait beaucoup de ça dans ma stratégie de dire oui à tout, de ne pas vouloir manquer une opportunité, une invitation, un projet cool donc la peur de passer à côté, de manquer quelque chose qui pourrait être l'espèce de big break que j'attends.
Peut-être que ça peut être la peur que tu vis d'être perçu comme n’ayant pas assez d'ambition?
Peut-être que tu te pousses à dire oui pour avoir l'air de la personne qui est vraiment prête à tout, qui veut réussir, qui est vive?
Peut-être que tu as l'impression de ne pas avoir une bonne raison de dire non?
Et ça, je le vois super souvent et moi aussi, je suis passée par là, par cette impression qu'on a à avoir une raison pour dire non, qu'on a à se justifier quand on dit non, qu'on a à expliquer.
Non, c'est une réponse complète en soi. Ça, ça a changé ma vie cette petite phrase-là.
Non, c'est une réponse complète en soi.
Alors comme moi je déteste me justifier, bien je ne disais pas non, parce que je ne voulais pas trouver des raisons, je ne voulais pas trouver des excuses, je ne voulais pas avoir à m'expliquer. Mais je te répète: non, c'est une réponse complète en soi.
Il y a peut-être aussi le fait que tu es mal à l'aise à la réaction que ça peut susciter quand tu dis non. Un peu comme quand on se fait demander : «Salut, comment ça va?» On a le réflexe de dire: «Ça va!» parce que si on disait ça ne va pas, on a comme un peu le malaise de ce que ça peut créer pour la suite.
Donc des fois, on est mal à l’aise que si on va dire non, l'autre personne va se sentir blessée, rejetée, qu'elle ne sera pas habituée à ça. On n’a peut-être pas le goût de dealer avec cette suite de conversation.
Mais ce dont je me suis beaucoup rendu compte c'est que souvent, on ne se donne pas le droit de penser avant de répondre. C'est comme si lorsqu'on se fait proposer quelque chose, lorsqu'on se fait poser une question bien banale pour une invitation ou une opportunité, on se met la pression de répondre sur le champ et souvent on va dire oui.
Quand tu te donnes le droit de prendre 4 secondes, 30 ou peut-être une journée pour réfléchir et de prendre le temps de déposer avant de répondre, il y a beaucoup plus de chance que tes oui soient des vrais oui et que tu sois capable de percevoir qu'est ce qui finalement serait un non.
Parce qu’on n’a souvent pas des référents assez solides pour prendre des décisions. On n’est souvent pas en mesure de déterminer c'est quoi nos vrais oui, et ce serait quoi nos non. Entre autres des référents, ça peut être des valeurs, ça peut être des trucs qui sont non-négociables dans ta façon de faire les choses, dans ton horaire, dans les balises que tu t’es mis.
Ça peut être aussi des ressentis. Prendre le temps de te connecter à ton feeling. Ça peut-être des processus décisionnels aussi en lien avec certains objectifs. Mais ça, ce processus-là, ça ne peut pas se faire rapidement en 2 secondes. Ça demande d'avoir le temps de prendre un petit recul, donc de te donner le droit de penser avant de répondre.
Je te le répète, ce à quoi tu dis non, est plus déterminant que ce à quoi tu dis oui.
Tes non sont plus stratégiques que tes oui.
La plupart du temps, ça s'avère vrai pour la majorité d'entre nous. Parce que les bénéfices de dire non, il y en a plusieurs. Moi, j'en ressors 4 que je trouve qui sont vraiment importants. J'ai envie de te les partager aujourd'hui.
Les principaux bénéfices à dire NON plus souvent:
Premièrement, c'est que quand tu dis non, quand tu apprends à dire non plus souvent, tu donnes une plus grande valeur à tes oui. On en vient rapidement à savoir que quand tu dis oui, c'est un vrai oui. C'est un oui authentique. Et tu donnes plus de valeur à ce que tu dis oui dans ta vie, plus de place, plus d'importance.
Aussi, tu développes une fiabilité qui est vraiment importante. Tu te rassure toi-même et les gens autour de toi que tes oui sont vrais et que tu y seras engagé. Donc c'est un peu comme si tu solidifies ton engagement, ta promesse envers toi-même, mais envers les autres. Et ça, c'est vraiment déterminant comme stratégie de réussite.
Troisièmement, tu agis en accord avec toi-même en toute circonstance. Apprendre à dire non, prendre le temps de réfléchir avant de répondre, ça te permet de t'accorder avec toi-même, de t'harmoniser, de t'aligner et ça, c'est hyper précieux. Mais aussi, tu affirmes tes choix et tes valeurs, tu assumes tes choix et tes valeurs. Et ça, c'est vraiment magique et c'est vraiment incontournable dans ton succès.
Alors maintenant ce que j'ai envie de te proposer c'est ma technique d'autocoaching un peu que j'ai utilisée pour me réapproprier le non.
En fait, ce qui pour moi a été vraiment un facteur important, c'était de réaliser que je n’avais pas de référence sur ce qui était des 100% oui. Et ça, je le dois entre autres à l'approche Human Design que j'ai découverte grâce à Karine Ricard à travers son bootcamp Brand Magnetique en 2019. J'ai découvert à travers ça que c'était super important de déterminer c'est quoi le 100% oui pour moi, et que j'étais rendu peut-être que quand quelque chose était rendu à 40 ou 50% intéressant, c'était un oui pour moi. Donc j'avais un beaucoup trop large spectre de possibilités pour humainement, dans les 24 heures par jour que j'ai comme tout le monde, je pouvais mener à bien et être 100% alignée, focus, hyper moi-même et alignée à ma vision.
Alors, je me suis un peu ré-approprié grâce à ça le non en comprenant c'est quoi mes vrais de vrais oui.
MA TECHNIQUE D’AUTOCOACHING
Alors la technique d'autocoaching que j'avais déjà amorcée c'était premièrement :
Qu'est-ce qui me retient le plus souvent de dire non?
Je t'ai partagé tantôt peut-être les racines de ce qui fait que tu ne dis pas non, donc j'avais réalisé pour moi que c'était l'impression que toute invitation/opportunité, tout était sujet à dire oui, à accepter.
Ensuite de ça, je me suis demandé:
À quoi je pourrais plus souvent dire non?
Parce qu'il y a des trucs récurrents dans nos vies où sans s'en rendre compte, on dit oui ou encore, on ne répond pas vraiment. Peut-être que tu as déjà entendu l'adage qui dit : Qui ne dit mot, consent. Donc, ne rien dire c'est acquiescer, c'est accepter. Et je me suis demandé à quoi je pourrais plus souvent dire non puis pour moi, c'était des petites choses, mais des fois c'était un texto d'un collaborateur ou de quelqu'un, un message sur les réseaux sociaux : Ah, as-tu un petit 5 minutes j'aimerais te parler? C'était toujours oui, mais je ne réalisais pas que souvent ça, ça coupait un peu mon élan d'inspiration, ça divisait mon focus. Donc d'apprendre à dire: Non, pas maintenant. Est-ce qu'on peut se parler à tel moment ou est-ce que tu es à l'aise de m'envoyer ta demande par courriel? De me demander à quoi je pourrais plus souvent dire non, ça été vraiment game changer si je peux dire.
L'autre question qui pour moi, a été très importante, c'est de me demander:
Si j'accordais plus souvent du non, ça serait quoi l'impact dans ma vie?
Parce que moi, je travaille beaucoup avec l'impact. C'est ce que je trouve le plus important. Donc je me suis demandé: Ok, là je vois un peu c'est quoi l'impact de dire oui aussi souvent dans ma vie; horaire surchargée, être un peu éparpillée, dépassée, avoir plein d'idées, plein de sujets, plein de choses en même temps, mais pas avoir l'impression que je suis vraiment totalement quelque part. Et je me suis demandé alors: «Ok, mais ce serait quoi l'impact si je disais plus souvent non dans ma vie?» Et après ça, tu peux en revenir à 2 éléments essentiels.
Comment est-ce que je pourrais me donner du recul avant de répondre? Comment est-ce que je pourrais me donner le droit de penser avant de répondre?
Ça, c'est essentiel. Des fois, ça peut être des petites phrases que tu peux peut-être te développer pour être prêt à demander un temps de réflexion pour essayer de couper un petit peu ton élan de dire oui naturellement. Pour moi, au niveau de mon horaire, ça été vraiment de me dire: «Je n'ai plus le droit.», je me disais ça à moi-même, «Mélissa, tu n'as plus le droit de booker un rendez-vous ou de placer quelque chose à ton horaire au téléphone avec quelqu'un.» Je me disais que non, je n'ai plus le droit de faire ça. Donc quand quelqu'un me disait, autant un client pour un coaching, n'importe quoi, je disais: «Ok, parfait. Je t'envoie ça tantôt. On raccroche et je te l'envoie par courriel. Ça va être plus simple, je t'envoie mes dispos.» Donc des fois, juste ces quelques secondes-là, versus quand j'étais en train de booker quelque chose dans mon horaire en temps réel avec quelqu'un et que là, je n'avais pas vu ce que j'avais la veille ou le lendemain ou deux jours plus tard puis je me ramassais avec un horaire hyper serré, bien cette espèce de petite brèche-là dans le processus, un petit peu comme si j'avais entré quelque chose dans une roue pour l'empêcher de rouler aussi vite, ça a vraiment créé de l'impact.
Et finalement, je me suis dit:
Mélissa, explore pour essayer de trouver ce qui est 100% oui pour toi.
Essaie de distinguer ce qui est des oui absolus, de ce qui est des peut-être ou c'est intéressant ou j'aime ça pour en arriver à être capable de dire il y a des 100% oui et en bas de ça, ça s'en va vers le non. Versus ce que je faisais avant qui était tant que ce n'était pas un 100% non, tout était oui. Je ne sais pas si tu perçois la nuance, mais elle est vraiment majeure.
La technique d'autocoaching, je te la propose entre autres si tu es abonné à l'infolettre, tu vas avoir l'information dans les show notes pour l'utiliser et ce que j'ai vraiment envie de te proposer maintenant comme défi M'Entreprendre, c'est de reprendre la maitrise de ton horaire, de ta business, de ta vie, en disant un non conscient et stratégique à au moins une chose cette semaine. Ça peut être quelque chose de bien banal comme de dire non à ton désir d'aller devant la télé au lieu de lire ou de faire quelque chose que tu penses qui est plus intéressant comme ça peut être de dire non à quelqu'un d'autre.
Mais vraiment, je te propose comme défi de faire un choix conscient et de dire non à quelque chose.
Je te propose aussi de regarder comment tu te sens quand tu dis non, qu'est-ce que ça génère.
Ça va te donner des indices sur qu'est-ce qui te retient de dire non plus souvent puis après ça, explore. Explore ton malaise puis vois comment tu pourrais apprivoiser le non, comment tu pourrais te ré-approprier cette stratégie-là. Essaie, juste pour voir.
J'espère que l'épisode d'aujourd'hui est aidant pour toi, qu'il met en lumière une avenue différente. Peut-être que ça met en lumière un impact que tu n'avais pas vu. J'espère vraiment que ça te permet de voir que tu peux choisir de créer vraiment la vie que tu souhaites, beaucoup plus de simplicité, de fluidité par un simple changement de perception sur le non.
Alors la prochaine étape pour toi c'est de t'assurer que tu es inscrit sur la liste VIP M'Entreprendre, l'infolettre, comme ça tu reçois les bonis, les techniques d'autocoaching et les épisodes dès la mise en ondes. Les indications sont dans les notes de l'épisode comme toujours.
[CONCLUSION]
À travers M'Entreprendre on choisit l'impact et l'intention donc on choisit de dire plus souvent non pour revenir vers nos vrais oui, notre véritable voie authentique. Avec M'Entreprendre, je te propose de développer ta pleine confiance, car qui tu es, fais toute la différence. On se donne rendez-vous bientôt pour un nouvel épisode du podcast M'Entreprendre.
Entre temps, relève le défi et dis non!
Merci de ton écoute.
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