2 mots à bannir

Épisode 16 | PODCAST M’ENTREPRENDRE (19 min 31 sec)
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Si 2 mots pouvaient changer radicalement ta vie, me croirais-tu?

Si je te disais que 2 mots que tu utilises régulièrement dans le flow de tes journées peuvent à eux seuls, déterminer l'état d'esprit avec lesquels tu vas vivre ta journée, avec lesquels tu vas prendre tes décisions, tu vas choisir tes actions; voudrais-tu connaitre les 2 mots dont je te parle?

Sans trop t'en rendre compte, ces 2 mots t'enlèvent du pouvoir. Ils te retirent la maitrise de ta vie au quotidien, bien sournoisement. C'est complètement fou, mais c'est complètement vrai.

M'écouterais-tu si je te disais qu'en quelques minutes, je peux te permettre de transformer 2 mots de ton quotidien pour faciliter la reprise de ton pouvoir, sur ta vie et sur tes actions?

[INTRODUCTION]

Mon nom est Mélissa Miron et j’anime M’Entreprendre. Le podcast qui inspire au mieux-être et qui invite à faire mieux. Ex-agente de voyage qui voulait mieux se connaitre, je me suis inscrite à une formation de coaching pour apprendre à me gérer et devenir ma propre coach.

Depuis 7 ans maintenant, je pratique ce que j’enseigne. Je suis la complice des entrepreneurs qui aspirent au succès avec impact et authenticité. Leadership, mindset, introspection, stratégie, connexion; le but de ce podcast est de faciliter ton évolution, éclairer tes réflexions.

Ensemble, on vient vers toi pour connecter à tes essentiels.

Épisode solo ou en duo, je te donne rendez-vous pour ton moment de pleine confiance, car qui tu es, fait toute la différence. Es-tu prêt? On commence à l’instant.


Bienvenue à ce nouvel épisode de la série M'Entreprendre, notre rendez-vous pour vivre et entreprise avec intention.

Épisode 16: 2 mots à bannir de ton quotidien.

C'est l'épisode qui marque officiellement le début de la deuxième saison du podcast. C'est comme la saison 2/épisode 1, mais en fait, c'est en continuité de la dernière série donc c'est l'épisode 16.

Bref, je suis tellement heureuse de vous retrouver, particulièrement dans un format tout dédié au podcast, un rendez-vous, un petit cocon qu'on va se faire ensemble. Alors d'abord je tiens à te remercier d'être au rendez-vous.

L'épisode d'aujourd'hui a peut-être piqué ta curiosité je l'espère et si tu me connais un peu, beaucoup, tu sais un peu où je m'en vais avec les 2 fameux mots dont je vais te parler.

Mais je vais commencer par te dire notre itinéraire pour l'épisode d'aujourd'hui, parce que ça va être en trois temps.

Premièrement, je vais te partager les fameux 2 mots que je veux t'inviter à bannir. Je vais te mettre en contexte, te dire un peu ce qui en est et deuxièmement, je vais te partager des façons vraiment simples et concrètes pour bannir ces 2 mots-là, pour transformer ton quotidien concrètement. Ça, c'est super important pour moi.

Et troisièmement, je te propose un défi M'Entreprendre. Je sais que c'est toujours super porteur de se mettre un peu en défi, de relever un petit challenge et souvent, ça nous sort de notre zone de confort et c'est comme ça qu'on évolue. Alors reste jusqu'à la fin, ça vaut vraiment la peine je te le promets.

Donc notre première étape c'est les 2 mots à bannir de ton quotidien.

Je commence par remercier Laurence. Laurence qui est une coachée, qui est devenue une amie, qui est devenue une collaboratrice et qui m'a souvent dit: «Ça fait tellement partie de toi cette philosophie-là, ces 2 mots-là que tu nous invites toujours à transformer et pourtant, tu n’en as jamais parlé dans tes épisodes ou dans ton blogue. Ça serait cool que tu nous en parles.»

Alors Laurence, voilà ton épisode.

Quels sont ces fameux 2 mots qui m'horripilent? Je te tiens en haleine depuis quand même quelques minutes. En fait, ces 2 mots qui peuvent réellement changer ta vie, qui peuvent réellement changer ton quotidien, dans sa vision d'ensemble, comme dans de petites micros actions, sans vraiment t'en rendre compte. En fait, ces 2 mots-là font la différence entre prendre la maitrise de ta vie au quotidien ou suivre un peu le mode d'emploi d'une vie toute faite, que tu es supposé avoir.

C'est quoi ces 2 mots-là Mélissa?

Enfin je te les dis. 2 mots:

Il faut.

Il faut que je maigrisse. Il faut que je fasse plus de sport. Il faut que j'aille plus souvent voir mon filleul. Il faut que je créer du nouveau contenu. Il faut que j’aie une stratégie efficace. Il faut que j'aie une vision. Il faut que j’aie un plan d'action. Il faut que j'aie des objectifs précis. On continue?

Il faut, c'est une pression extérieure qui ne t'appartient pas.

Il faut, ça créé un rapport de force entre ta réelle volonté, ta motivation intrinsèque à toi et ce que tu acceptes comme étant la meilleure option à l'extérieure de toi et cette dernière partie-là est super importante, je me permets de te la répéter. C'est un rapport de force entre ta réelle motivation à toi, intérieure, et ce que tu acceptes comme étant la meilleure option à l'extérieur de toi.

Tout simplement si on va dans la sémantique, si on va dans la grammaire, il, c'est un pronom à la troisième personne du singulier. Il, ça veut dire on; ça exclut la personne qui parle.

Donc quand tu dis il faut, ça t'exclut. Il, c'est qui? Ça vient d'où? C'est qui qui dit il faut? Ça vient d'où il faut? Parfois on le sait, parfois on ne le sait pas. Et ce n’est pas tellement important. Ce qui est vraiment important, c'est de prendre le temps maintenant de se demander qui dit ça: «Il faut que je fasse plus de sport. Il faut que je créer du contenu. Il faut que j'aie un objectif vraiment précis.» Qui dit ça?

Quand on répète ça sans trop se demander c'est qui le il, c'est un peu comme quand on était enfant, ou si tu as des enfants, puis qu'ils te disent: Mais tout le monde le fait maman. Mais tout le monde en a.

C'est qui ça tout le monde? C'est personne. On donne de l'importance, on accepte de donner de l'importance à quelque chose qui est à l'extérieur de soi.

Ce qui est super important aussi, c'est de se demander: «Pourquoi je crois à ça? Pourquoi je crois cette personne-là?»

Souvent, les il faut viennent soit d'un lien affectif, donc de gens qui sont près de nous. Ça peut venir par la répétition, parce qu'on entend ça souvent autour de nous, sur nos fameux réseaux sociaux; et c'est vraiment très répandu. Souvent, ça vient aussi d'un lien de valeur. Donc pour moi par exemple, créer du contenu de qualité c'est super important puis j'accepte l'idée qu'il faut que j'en créer toujours plus, qu'il faut que je me garde dans ce processus-là, parce que c'est une valeur, c'est un élément important pour moi.

Souvent aussi, c'est un lien de résultat. Je veux un résultat, je vois plein de gens qui me disent ou qui semblent penser qu'il faut passer par ce chemin-là et comme je veux vraiment le résultat, j'accepte que leur idée soit meilleure que la mienne.

Il faut, c'est vraiment réducteur et sans s'en rendre compte, c'est hyper insidieux combien ça fait partie de notre quotidien.

En coaching, c'est toujours un peu le running gag avec mes coachés parce qu'en rencontre, ils vont me dire: «Ah oui Mélissa, il faut que je me fasse un plan.» Et là, au fil de nos rencontres, ils arrivent à tout de suite interpeller eux-mêmes leur il faut

Puis en fait je leur dit: «Mais pourquoi tu crois ça?» C'est ça le vrai nerf de la guerre. C'est que le il faut, si on l'utilise sans réellement voir l'impact que ça a, on devient rapidement au service de plein d'autres gens, plein d'autres concepts, plein d'autres façons de faire, sans nécessairement valider si c'est en lien avec les nôtres.

Si je continue un petit peu dans le il faut, on peut se dire aussi: «En quoi c'est vrai? Il faut que j'aie des objectifs précis, mesurables et chiffrés. En quoi c'est vrai ça? Est-ce que j'ai des preuves hors de tout doute que ça me prend ça, sinon ça ne fonctionnera pas?»

Peut-être que j'en ai, peut-être que j'en ai pas. Mais de se demander la question, on est capable d'aller reprendre le pouvoir sur notre quotidien parce qu'on arrête de faire des actions qui sont conditionnées par l'extérieur et on prend le temps de revenir en soi pour se demander: «Est-ce que moi j'ai vraiment envie de ça?»

On se demande: «Est-ce que c'est vraiment important pour moi? Est-ce que j'ai vraiment envie de croire ça?»

Je le sais que tu te dis peut-être: «Tu es peut-être un peu intense Mélissa.»

Oui je le sais!

Mais c'est ça que le il faut vient générer dans ton cerveau comme impact. Il vient vraiment réduire tout ton champ de possibilités, créer un rapport de force vraiment rigide pour t'amener dans une action, dans un mouvement qui est contre-productif pour toi, qui est contre-intuitif pour toi présentement. Parce que si c'est seulement un il faut, ce n'est pas authentique. Ce n'est pas intrinsèque à toi.

Et là, bien écoute, je pourrais te parler très longtemps de plein de supposés coachs qui vont t'imposer leur vision, leur recette, leur stratégie en te disant: «Si tu veux faire de l'argent, il faut que tu fasses ça. Si tu veux plus de followers, il faut que tu fasses ça.»

Ça va même plus loin. «Si tu veux être bien dans ta peau, il faut que tu fasses ça. Si tu veux méditer, il faut que tu fasses ça.»

Et ça, bien ce que ça nous créer à nous quand on reçoit ça et qu'on accepte de le répéter, d'en faire un discours qui va faire partie de notre quotidien, c'est que même des actions super zen comme la méditation devienne une pression, viennent créer un rapport de force. C'est fou!

Alors vraiment, ce qui est super important, c'est de se ramener à: «Qu'est-ce qui se passerait si je ne le faisais pas? Il faut que je médite ou il faut que je prenne 15 minutes, assis par terre sur un coussin en lotus pour méditer. Il faut. Qu'est-ce qui se passe si je ne fais pas ça? Est-ce que je vais être en danger? Est-ce qu'il y a vraiment des choses que je brise mon activité de méditation, est-ce que c'est vraiment grave si je ne fais pas ça?»

Alors je t'amène cette réflexion-là parce que dans nos vies professionnelles comme dans nos vies personnelles, on a tellement de il faut et dans 99,9% des cas, ce n'est pas vrai. Ce ne sont pas de réelles obligations.

Il faut que je fasse le souper. Il faut que je fasse la vaisselle. Qu'est-ce qui se passe si je ne le fais pas?

Moi je dis souvent à la blague à mon chum parce qu'il aime la maison ''spic and span'', moi aussi, sauf qu'il est moins fort sur l'époussetage, il tourne les coins ronds! Puis je dis: «Tu sais mon amour, il ne faut pas faire le ménage. La beauté avec la poussière, c'est qu'elle ne part pas toute seule. Si je ne le fais pas aujourd'hui, elle va être là demain.»

Donc c'est un exemple un peu ludique que je te donne parce que, fondamentalement, il faut rien.

Et je me permets de faire une petite parenthèse en te disant attention à son petit frère, 2 autres mots: Je dois.

Alors je t'ai parlé de la sémantique, je t'ai parlé du il qui est à la troisième personne et souvent quand je propose à mes coachés de transformer le il faut, leur première étape c'est je dois. On s'entend que le verbe devoir, c'est quand même un rapport de force, c'est quand même une pression. Alors si systématiquement on passe du il faut à je dois, on est encore en train de passer à côté du principe de validation.

Est-ce que c'est vraiment important pour moi? Qui me dit ça? Est-ce que j'y crois? Est-ce que ça a toujours lieu d'être comme information?

J'espère que déjà, tu es peut-être en train de te demander: «Est-ce que je moi je dis ça? Quand est-ce que je dis ça? Qu'est-ce que cela a comme impact pour moi?»

Alors maintenant, ce que je veux te proposer, c'est vraiment des petites façons simples et concrètes de transformer le il faut.

Alors c'est en quatre étapes et quand tu fais partie de la liste M'Entreprendre, tu reçois un petit courriel alors tu as déjà reçu un petit PDF d'intégration, un petit boni avec les transformations pour les appliquer pour toi.

Premièrement, on transforme le il faut par je vais.

Alors si on prend un exemple concret pour moi: Il faut que je créer deux nouveaux épisodes de podcast aujourd'hui. Pourquoi il faut? Qui dit ça? Ça vient d'où cette pression-là? Est-ce que c'est vraiment important pour moi de faire ça? Si j'en arrive à est-ce que c'est vraiment important pour moi et que la réponse est oui, bien ma transformation est complétée. Maintenant je vais dire: «Je vais créer deux épisodes de podcast aujourd'hui.» Il n'y a pas de il faut.

Reprends la maitrise, reprends ton pouvoir et tu changes le il faut, par je vais créer deux épisodes de podcast aujourd'hui. Je vais faire le ménage. Je vais faire l'épicerie. Je vais me créer un objectif précis, mesurable et financier. Alors la première étape, il faut = je vais.

Si tu arrives à pourquoi, qui dit ça, en quoi c'est important pour moi, est-ce que j'ai vraiment le goût de dire que c'est important, et que tu n'es pas sur ou que c'est non, bien ta deuxième option c'est de transformer il faut par je pourrais.

Alors si on prend l'exemple de: Il faut publier tous les jours sur notre page Facebook. Pourquoi? Qui dit ça? Est-ce vraiment important pour moi de publier chaque jour sur Facebook? Non, pas tellement. Alors là, je peux me demander qu'est-ce qui va se passer si je ne le fais pas. Ça, je t'en ai parlé un peu plus tôt.

Donc, si je suis moins présente, il y a moins de gens qui vont me voir, moins d'interaction sur ma page. Alors je vais changer il faut par je pourrais. Au lieu de dire: «Il faut que je publie chaque jour sur mon Facebook.», je vais me dire: «Je pourrais publier chaque jour sur mon Facebook.»

Je vais redonner de la place aux possibilités, donc je vais explorer l'idée que je pourrais publier chaque jour sur mon Facebook. Il y a une brèche qui se créer. J'ai retiré la pression, il y a un chemin qui va se faire pour en arriver peut-être à ce qu'un moment donné je me dise: «Est-ce que c'est vraiment important pour moi de publier chaque jour?» Oui, alors je vais avoir passé par il faut, que je vais avoir changé par je pourrais, pour éventuellement en arriver à je vais.

Alors j'espère que tu comprends le chemin que je te propose parce que c'est vraiment simple, ça prend quelques minutes au début et quelques secondes à force de le pratiquer.

Et ta troisième étape, si quand tu en es arrivé à qu'est-ce qui se passe si je ne le fais pas, que tu t'es dit: «Je pourrais publier chaque jour sur mon Facebook.» et qu'il n'y a toujours pas rien qui se passe avec ça ou même que tu sens que quand tu dis je pourrais, l'aspect des possibilités ne t'interpelle pas tant que ça, bien tu vas essayer de transformer ton: «Il faut que je publie chaque jour.» par je choisis de.

Alors tu vas te dire: «Je choisis de publier chaque jour sur mon Facebook.» Probablement que ça va faire: Ouain, non! Alors tu vas quand même choisir et tu vas changer il faut par «Je choisis de ne pas publier chaque jour sur mon Facebook

Tu vas avoir repris ton pouvoir. C'est toi qui as la maitrise. Choisir, c'est décider. Choisir, c'est assumer et c'est comme ça que tu deviens plus entrepreneur de ta vie. Oui en affaires, mais de ta vie.

Choisir de faire, comme choisir de ne pas faire. Souvent, ce à quoi on dit non a plus d'impact que ce à quoi on dit oui. Et ça, je te laisse méditer cette phrase-là parce que pour moi, elle est très porteuse de vérité.

Alors dans le fond tu as 3 options:

Il faut, tu le transformes en je vais. Si ça fonctionne, super, la transformation est complétée.

Si ça ne fonctionne pas ou pas complètement, il faut devient je pourrais.

Et si encore là ça accroche ou qu'au fil des journées, tu sens que non, la possibilité ne semble pas faire effet, il faut deviens je choisis de ou je choisis de ne pas.

Et dans tout ça, je te propose de t'observer. Vois qu'est-ce que ça change en toi quand tu passes de il faut à je vais, quand tu passes de il faut à je pourrais, quand tu passes à il faut à je choisis ou je choisis de ne pas.

Un des plus beaux sentiments pour moi, c'est quand j'arrive à: Je choisis de ne pas faire quelque chose et que je sens un relâchement. Je sens une pression qui tombe. Je sens: Maintenant que j'ai choisi de ne pas le faire, je peux me concentrer sur autre chose.

Alors vraiment, choisir, peu importe de faire ou de ne pas faire, c'est hyper porteur de succès.

Alors maintenant on est à notre troisième étape et dernière étape de l'épisode: le défi M'Entreprendre.

Ce que je te propose comme défi c'est de partager une phrase que tu vas transformer.

Une phrase que peut-être tu te disais souvent il faut, puis que là tu vas la transformer soit par je vais, soit par je pourrais, ou je choisis et je te propose de la partager sur ton réseau social préféré (Facebook, Instagram, LinkedIn, peu importe) et accompagne ton post du mot-clic M'Entreprendre, du hashtag #mentreprendre et tague-moi comme ça, je vais pouvoir échanger avec toi, je vais pouvoir te féliciter.

Pourquoi je te propose ce défi-là? C'est qu'on créer le changement par concrètement transformer la façon dont on dit les choses. Mais aussi, en relevant le défi, tu vas vraiment transformer des actions quotidiennes puis tu vas devenir plus inspirant pour ton audience, pour les gens qui te suivent. Tu vas les amener à se questionner sur leur il faut puis je pense que ça, c'est super important parce que moins qu'il y a de il faut qui circulent, mieux on va tous s'en porter.

Les détails du défi vont être dans les notes de l'épisode, dans les show notes, donc avec les calques que tu peux utiliser pour me faire un petit coucou selon le réseau que tu choisis.

J'espère vraiment que l'épisode d'aujourd'hui t'a été utile et qu'il va te permettre concrètement de transformer tes journées, de transformer tes actions.

Je te propose de changer 2 mots simples dans ta vie de tous les jours, mais qui ont un impact immense.

La prochaine étape pour toi, c'est de t'assurer que tu es inscrit sur la liste M'Entreprendre parce que ça, c'est l'infolettre que j'envoie chaque mardi matin, avec les bonis de l'épisode et l'épisode avant tout le monde. Alors tu te rends sur mon site web www.melissamiron.com  et il y a une barre d'annonce, une fenêtre pop-up, tu ne peux pas le manquer. Les indications vont être aussi dans les notes de l'épisode.


[CONCLUSION]

À travers M'Entreprendre, on choisit l'impact avant les résultats. On prend le temps de profiter du voyage et de choisir nos destinations avec intention. Ici, on choisit d'être la clé de notre succès. On choisit de pratiquer l'introspection pour mieux vivre et entreprendre en alignement avec nos valeurs, avec nos essentiels. Si ça te parle, c'est ça M'Entreprendre et je t'invite à être au rendez-vous chaque semaine avec moi.

Avec M'Entreprendre, je t'invite à cultiver ta pleine confiance, car qui tu es, fait toute la différence.

Alors on se donne rendez-vous la semaine prochaine pour le nouvel épisode du podcast.

À très bientôt.


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